Il y a du travail encore...

Même si le mot d'ordre était de prendre du plaisir et de l'expérience, les quatre clubs étaient en difficulté sur le terrain lors du DVCL.

Il fallait s'y attendre et les équipes françaises ont maintenant l'habitude. Seul le Stade Parisien masculin a réussi à bousculer les adversaires sur le terrain. Les trois autres équipes, parfois, incomplètes, n'ont pas pu contester la suprématie des autres pays européens.

Côté filles, l'équipe du Stade Parisien, amputée d'une blessée (Marion), une absente (Fiona) et une non-qualifiée (Irina), termine à la onzième et dernière place.
Torcy a fait mieux, son équipe termine à la huitième place. Mais elle ne doit cette place qu'au forfait d'une équipe de Grèce, ainsi elle a pu se qualifier en quart de finale (2 équipes sur 3 dans chaque poule).

Côté garçons, les poitevins, également amputé de trois bons joueurs (Damien, Bastien et Nicolas), n'a pas pu faire mieux que la huitième et dernière place.
Le Stade Parisien, a réussi à gagner des sets et même des matches face aux tchèques de Prague et finalement les français de Poitiers, pour terminer à une honorable sixième place.

Chez les filles, les italiennes ont dominé les débats avec Ancona devant Brescia. Et chez les garçons, ce sont les russes avec Nowosibirsk devant Khmao-Ugra.

Il ne faut pas se leurrer, le niveau est excellent et en France, nos internationaux ne sont pas dans les mêmes équipes, le niveau de nos équipes est d'autant plus faible. Le Stade Parisien a une équipe homogène et elle est emmenée par le prodigue Marin. Il commence à se faire connaître à l'international !

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